La tradition hindoue considère la progéniture comme le devoir d'un grihastha. C'est une croyance conventionnelle que la maternité confère un statut à une femme. Une femme incapable de concevoir était considérée comme malheureuse et de mauvais augure. L'avortement était donc considéré comme une infraction très grave (atipatakadosha).
Dans l'hindouisme ancien, une femme mariée pouvait être exclue de ses devoirs rituels et de son autorité conséquente à la maison si elle recourait à l'avortement.
Les cas d'avortement ont rarement été enregistrés dans la tradition hindoue.
La société hindoue s'est opposée à l'avortement pour des motifs moraux, religieux, éthiques et juridiques. L'avortement provoqué a été méprisé et même interdit par Dharmashastras en l'énumérant avec des péchés impardonnables et graves.
Il existe de nombreuses histoires dans la tradition hindoue dans lesquelles les femmes qui ont conçu en dehors du mariage n'interrompent pas mais accouchent. Cela comprend la naissance de Shakuntala et Karna dans le Mahabharata et de nombreuses autres naissances par Apsaras.
Dans l'hindouisme ancien, une femme mariée pouvait être exclue de ses devoirs rituels et de son autorité conséquente à la maison si elle recourait à l'avortement.
Les cas d'avortement ont rarement été enregistrés dans la tradition hindoue.
La société hindoue s'est opposée à l'avortement pour des motifs moraux, religieux, éthiques et juridiques. L'avortement provoqué a été méprisé et même interdit par Dharmashastras en l'énumérant avec des péchés impardonnables et graves.
Il existe de nombreuses histoires dans la tradition hindoue dans lesquelles les femmes qui ont conçu en dehors du mariage n'interrompent pas mais accouchent. Cela comprend la naissance de Shakuntala et Karna dans le Mahabharata et de nombreuses autres naissances par Apsaras.