Ils expriment leur incompréhension face au rôle et aux actions de l’administratrice judiciaire, qui n’a pas permis le rétablissement d’une direction en phase avec les principes fondamentaux de leur foi. Aucun projet clair n’a été proposé pour rendre la gestion du temple à ses fidèles, pourtant investis, compétents et respectueux des obligations cultuelles précises
Les fidèles rappellent que le bon fonctionnement d’un temple repose sur une organisation dirigée par des croyants, à même de garantir l’ordre des rituels, la tenue des cérémonies dans les règles, et la préservation de la dimension sacrée du lieu
Ils demandent solennellement la convocation immédiate d’une assemblée générale, la publication de la liste à jour des membres, l’organisation d’élections transparentes pour un nouveau conseil d’administration, un accès clair à la gestion financière du temple, et surtout, la restitution de la direction du lieu à ses fidèles, sous la responsabilité d’un président élu
Ils appellent à ce que le temple retrouve sa paix, sa dignité et sa vocation spirituelle dans le respect des traditions transmises depuis des générations
La pétition est ouverte
Pour la signer, accédez au lien suivant : https://www.mesopinions.com/petition/art-culture/petition-fideles-temple-narassingua-peroumal-saint/242545
*Une administratrice judiciaire est nommée par un tribunal pour gérer temporairement une organisation (entreprise, association, lieu de culte, etc.) lorsqu’il y a des dysfonctionnements graves, des conflits internes ou une absence de gouvernance claire. Dans le cas d’un temple comme celui de Narassingua Péroumal, cela peut survenir :
S’il y a un litige ou une crise au sein du comité de gestion ;
S’il y a des soupçons de mauvaise gestion financière ou administrative ;
Ou encore, si l’association gestionnaire n’est plus en mesure d’assurer son fonctionnement régulier.
L’administratrice judiciaire a alors pour mission de gérer les affaires courantes, parfois de réorganiser la gouvernanceou même de préparer des élections internes. Cependant, elle n’a pas forcément la sensibilité spirituelle ou culturellenécessaire pour gérer un lieu de culte comme le souhaiterait la communauté.